Le tueur à gages

Le tueur à gages

Chapitre I :Tragédie

En novembre 2016, Léon Fullbuster est un instituteur à Mauron. Sa journée terminée, il rentre chez lui ou plutôt chez ses parents. Bizarrement la porte est ouverte alors que ses parents n’oublient jamais de la fermer. Quand il entre, il trouve deux personnes allongées, badigeonnées de sang. Léon, affolé, reconnaît ses parents ! Il hurle de désespoir puis enfin, il appelle la police. Après vingt-deux jours d’enquête, les inspecteurs concluent à un suicide mais Léon n’y croit pas. Ses parents respiraient la joie de vivre, ils n’auraient pas pu se suicider. Donc Léon mène son enquête et croit avoir trouvé l’assassin. Pour lui, il s’agit de Rick Mortissonne, l’employé de ses parents chargé de l’entretien de la maison. Rick a été licencié de chez eux où il était chargé de l’entretien de la maison, après la disparition d’un bijou de sa mère. Les soupçons s’étaient portés sur lui, même s’il avait toujours clamé son innocence. Léon se rend donc chez Rick, prend une grosse pierre dans sa main et s’approche tout doucement. Plein de haine, il commence à frapper sauvagement l’homme qui ouvre sa porte d’entrée tout en lui tournant le dos. Lorsqu’il s’écroule, Léon ressent une réelle satisfaction. Il se rend compte alors que tuer le passionne et décide d’en faire son métier ! Ainsi il commet sept crimes à la suite et tue sept personnes innocentes ! Après chaque meurtre, bizarrement, il est rempli de bonheur.

Chapitre II : L’engagement

Léon devient tueur à gages et se rend dans les quartiers mal famés pour se faire connaître. Rapidement il commence à recevoir des demandes. Des demandes de M. Tout le monde, voilà ce qui le surprend. Un jour, il reçoit une commande qui provient d’une personne fortunée, ce qui ne l’étonne pas car les riches n’aiment pas avoir de la concurrence. Il accepte car cette commande est payée 30 000 euros. Alors Léon part pour tuer une certaine Mme Poufanovitch. C’est une Russe qui habite à Malestroit, rue aux Anglais. La jeune femme est charmante. Elle est la patronne d’une célèbre usine d’informatique. Un jour, il l’aborde et il lui propose de l’inviter au restaurant sous prétexte de lui passer une grosse commande d’ordinateurs. Mme Poufanovitch accepte car c’est une femme d’affaires. Après le dîner elle lui propose d’aller chez elle pour discuter au calme. Pendant qu’elle va chercher des rafraîchissements, Léon sort un couteau qu’il a dissimulé. Il s’approche discrètement de la cuisine et la poignarde sauvagement à trois reprises. Mais il sursaute en entendant l’horloge sonner bruyamment : il compte les coups, il est minuit ! Il se souvient alors de cette phrase célèbre : « Minuit, l’heure du crime ». Cette idée lui plaît beaucoup et désormais il décide d’être « L’assassin de minuit ». Sa mission terminée, il rentre chez lui. L’argent pour sa mission est déjà là et il est bien décidé à suivre son idée.

Chapitre III : La Révélation

Après deux années passées à tuer des gens pour le compte des autres, sa soeur lui avoue que c’est elle qui a tué ses parents. Elle s’était disputée violemment avec eux car elle leur devait de l’argent et ne pouvait pas les rembourser. Pour effacer ses dettes, elle avait simplement décidé de les éliminer ! Fou de rage, Léon pense d’abord à assassiner sa soeur mais finalement, dans un geste imprudent, il la dénonce à la police et lui-même prend la fuite. Il retourne chez lui et prend une nouvelle mission. Il doit assassiner une certaine Mme Shotard. Léon se demande d’abord pourquoi il doit éliminer une personne âgée mais il est maintenant habitué à recevoir des demandes étranges alors il ne se pose pas plus de questions. La vielle dame sort d’une supérette du coin. Léon propose de l’aider à porter ses achats jusqu’à chez elle. Arrivés dans son appartement, la vieille dame lui propose gentiment de lui offrir à boire. Sans crier garde deux hommes et une femme surgissent de nulle part. C’est la police ! Léon, surpris, essaie de s’enfuir mais toutes les issues sont condamnées. La senior était de mèche… Léon sort un couteau de sa poche pour se défendre. Tant bien que mal il réussit à s’enfuir par une fenêtre. Il a été piégé, il se dit qu’il n’a pas été assez prudent. Enfin rentré chez lui, Léon réfléchit à ce qui s’est passé. Il n’y croit toujours pas. Il réfléchit de longs heures puis il repart pour une nouvelle mission. Bizarrement il a un mauvais pressentiment car la prime est très haute : 100 000 euros ! Mais Léon accepte quand même. La cible à abattre est un homme banal, sans rien de spécial ; il s’appelle Mac. Léon le suit. Ce qu’il ignore c’est que Mac est un agent chargé de le traquer. En quelques secondes, Léon est entouré par plus de dix personnes. Surpris, il comprend qu’il a été une nouvelle fois piégé. Il se dit que cette fois c’est la fin. Il entrevoit enfin la vérité : sa soeur l’a certainement trahi pour se venger ! Léon est transpercé par trois balles mais dans un élan désespéré, il blesse mortellement deux agents, puis finit par s’écrouler et meurt